AGE ◊ 18 ans ; DATE DE NAISSANCE ◊ 3 mars 1994 ; LIEU DE NAISSANCE ◊ Cagliari, Sardaigne ; NATIONALITE ◊ Italienne ; STATUT CIVIL ◊ Céibataire ; ORIENTATION SEXUELLE ◊ Hétérosexuelle ; EMPLOI/ÉTUDES ◊ Actrice ; GROUPE ◊ Chi Beve Un Biechere ; AVATAR ◊ Barbara Palvin

QCM baby. On voudrait savoir de quel genre tu es.
1- Qu'est-ce que tu penses de la collocation ?
a) Franchement, c'est trop bien. C'est toujours les jours la fête. Yolo les amis.


2- Que penses-tu de Rome ?
d) Bah.. c'est une ville quoi.

3- Le matin tu es du genre :
b) Tu grognes après le reveil et tu lui balances ton oreiller


4- Tu manges quoi dans la journée ?
a) Que des cochonneries, faut en profiter, je prends pas un gramme.


5- Pour toi la fête c'est :
a) Tout le temps, on s'en fout qu'il y ai cours ou boulot demain


6- L'amour, c'est quoi pour toi ?
c) Désolé, je préfère m'amuser, se contenter d'une seule personne, non merci.


7- Tu définis comment ton bonheur ?
c) La vie sans prise de tête, la fête tout le temps

J'aime pas cette partie >< Nan mais c'est vrai, je sais jamais quoi dire sur moi xD Bon j'vais arrêter de me plaindre hein Je m'appelle Amandine, j'ai 20 bougies et j'habite à Lyon (ouais c'est super important de le préciser). Je pourrais ma connecter à peu près tous les jours et super tard le soir quand je serais en vacances. J'adore RP et avoir des liens de fifou. Sinon bah euh si t'as des questions, t'as qu'à me demander xD

Je m’appelle Andréa Fiona Ricci-Ferrari. Mes parents ont souhaité me donner leurs deux noms de famille. Pourquoi ? Sûrement un de leur délire que je n’ai pas encore compris. Je suis née le 3 mars 1994, tôt le matin, à Cagliari dans le sud de la Sardaigne. Je suis fille unique et j’ai toujours té pourrie gâtée depuis ma plus tendre enfance. Quand je vous dis que je suis pourrie gâtée, vous n’imaginez pas tout ce que mes parents ont fait pour moi. Si je leur avais demandé de me décrocher la lune, je suis sûre qu’il l’aurait fait. Je fais partis d’une des familles les plus riches de l’île. Ma mère travaillait en tant que décoratrice d’intérieur. Elle a décoré les plus belles villas de l’île. Mon père travaillait dans la politique. Il faisait aussi partie de la mafia ce qui est tout à fait compréhensible puisque les plus grandes familles en font partis. J’ai toujours connu la richesse. Depuis ma plus tendre enfance, j’ai été scolarisé dans une école privée. Mes parents ne voulaient pas que je côtoie les plus pauvres que nous. Ils les appelaient les gens du peuple comme si la famille Ricci-Ferrari faisait partie de la noblesse. Cette appellation m’est toujours restée et j’ai toujours mis une barrière entre les gens moins riches que moi et ma petite personne. Certains pouvaient penser que je jouais les petites princesses mais c’était seulement mon éducation qui était ainsi. Depuis toute petite, je rêve de devenir actrice ou tout du moins d’être connue et reconnue. C’est dès mes quatre ans que mes parents ont jugé bons de m’inscrire dans une école de théâtre. Ils m’ont également inscris a beaucoup de concours de mini miss. J’en ai plus d’un évidemment. En fait, j’ai toujours connu ce monde de strass et paillette. Ça m’a toujours fait rêver.

J’ai grandis dans un monde où tout m’était dût. J’étais la petite princesse de la famille. Avec les autres, j’étais le genre populaire, peste, arrogante et prétentieuse. Le genre de fille que personne ne supporte à part ces acolytes. Je n’avais aucune pitié pour les gens que je n’aimais pas. Certains pouvaient penser que j’avais une vie de rêve. C’est vrai, plus d’une fille m’enviait et voulait être à ma place. Moi je n’en avais jamais assez. E voulais toujours plus. Par exemple, pour l’anniversaire de mes douze ans, j’ai voulu organiser une fête comme les grands. C’est-à-dire avec beaucoup d’alcool, dans l’une des plus prestigieuses salles des fêtes de la ville. Ni une, ni deux mes parents ont réservé la salle. Pour l’alcool, ils n’étaient pas forcement d’accord mais ça s’était sans compter sur mes talents de manipulatrice. Je ne sais plus exactement comment j’ai fait pour les convaincre mais une chose est sûre, ils ont finis par aller acheter des bouteilles de Vodka. J’ai toujours été précoce. Je voulais grandir plus vite que tout le monde. Etre majeur et faire ce que je voulais de ma vie. En cours, j’étais loin d’être le genre de fille travailleuse. J’étais plutôt le genre à rester au fond de la classe et à incendier mes professeurs lorsqu’ils me posaient une question ou qu’ils me faisaient une remarque. Je me croyais tout permis, ce qui avait le don d’en exaspérer plus d’un.

Les années passent. A 14 ans, avec l’une de mes amis, on a décidé de s’incruster dans l’une des fêtes les plus huppés de la ville. Le genre de soirée très privée où peu de personne peut y entrer. Après avoir négocié avec le videur on a réussis à entrer. Toute la jeunesse dorée de Sardaigne était là. J’avais toujours voulu faire partie de ce clan ultra privée, juste pour le prestige de dire que je trainais avec ces gens-là. Ce jour-là à sûrement été le plus beau jour de ma vie. Après avoir fait un scandale parce que quelqu’un venait de me marcher sur les pieds, un réalisateur de film vint à ma rencontre. Il me posa tout un tas de question sur mon âge, comment je m’appelais, ce que je faisais dans la vie et bien sûr si ça m’intéressais de jouer dans un film. J’ai accepté. Quelques jours plus tard, je passe le casting et je décroche le premier rôle. Merci à ms années de théâtre qui m’ont énormément suivi. J’ai donc arrêté les cours. Mes parents ont été d’accord. Après tout, c’était mon rêve qui se réalisait. Ils ne pouvaient pas m’empêcher de vivre sa et de goûter à la célébrité. J’ai enchaîné les films pendant trois ans et demi. J’ai également enchaîné les scandales médiatiques soient parce qu’en soirée je me comportais de faon totalement irresponsable, soient parce que j’étais proche de tel ou tel célébrité. Puis, il y a un an j’ai dut partir à Rome pour le tournage d’un film. Je n’ai plus vraiment donné de nouvelles à mes parents. Ils me voient dans la presse. Je continue toujours à être irresponsable et à alimenter les ragots. Malgré mes airs de petite princesse qui pense que tout lui ai dut, je vis mal mais je ne m’en rends pas réellement compte. Mes parents m’ont mis sous les projecteurs très tôt et ça m’a plus. Je n’ai jamais réellement d’enfance. Alors je me rattrape en enchaînant les soirées, les hommes aussi et bien sûr en jouant les stars inaccessibles qui ne se mélangent pas au peuple. En amour, je ne veux pas m’attacher. Je ne veux pas risquer de souffrir ni me prendre la tête à cause de ça.